Si les souvenirs sont bons
« Il n’y a que très peu d’affects dans ce roman très contemporain qui met tout, et en particulier, les sentiments, la sexualité, un peu à distance. Cynisme léger,désinvolture de même poids. Garance est un mélange d’intello, de fêtarde et d’amoureuse incertaine, qui fait le grand écart entre Booba et Badiou, PNL et Adorno.»
LIVRE HEBDO
Par la voix de Garance, Clara Lalix nous fait vivre de l’intérieur ce moment de vie où des choix doivent être faits, ces quelques années d’intervalle où le profil d’une femme se dessine entre son passé d’enfant, une adolescence marquée par la douleur des parents, des épreuves et des instants de lâcher prise. Les mois défilent en de brèves confidences datées, comme dans un journal intime. L’écriture y est précise. Le personnage de Garance, sans vouloir y toucher, nous touche, nous émeut. Nous confronte finalement à notre ancien nous, si nos souvenirs sont bons...
LA VOIX DU NORD
Garance à 17 ans, crise d’adolesccence passée, considère les aléas de la vie familiale avec sagesse, en apparence. Car le parcours heurté des études laisse quand même entendre que quelque chose ne va pas très bien, avec dix ans de conséquences diverses, moments de folie douce, crises exaspérées, amours compliquées. Le ton oscille entre légèreté et gravité, l’une et l’autre un peu forcées, comme s’il fallait prendre la pose. Mais c’est plaisant.
LE SOIR
LIVRE HEBDO
Par la voix de Garance, Clara Lalix nous fait vivre de l’intérieur ce moment de vie où des choix doivent être faits, ces quelques années d’intervalle où le profil d’une femme se dessine entre son passé d’enfant, une adolescence marquée par la douleur des parents, des épreuves et des instants de lâcher prise. Les mois défilent en de brèves confidences datées, comme dans un journal intime. L’écriture y est précise. Le personnage de Garance, sans vouloir y toucher, nous touche, nous émeut. Nous confronte finalement à notre ancien nous, si nos souvenirs sont bons...
LA VOIX DU NORD
Garance à 17 ans, crise d’adolesccence passée, considère les aléas de la vie familiale avec sagesse, en apparence. Car le parcours heurté des études laisse quand même entendre que quelque chose ne va pas très bien, avec dix ans de conséquences diverses, moments de folie douce, crises exaspérées, amours compliquées. Le ton oscille entre légèreté et gravité, l’une et l’autre un peu forcées, comme s’il fallait prendre la pose. Mais c’est plaisant.
LE SOIR
